Quand je dis représentants ou agents, je parle en terme non officiel, bien entendu. Ces gens sont souvent les amis et la famille. Ils parlent du livre, partagent les publications, le vantent à tous et à chacun. C’est normal; non seulement ils veulent qu’un auteur qu’ils connaissent, surtout autoédité, réussisse, mais ils sont tellement fiers.
Mes représentants/agents sont mes parents. J’en profite pour les remercier publiquement ici. J’en profite également pour dire, à vous, lecteurs, que non seulement ils m’ont donné la vie, un toit, une éducation ainsi que de bonnes valeurs, mais ils m’aident en me donnant de la visibilité.
Mon père est un lecteur de biographie. Il n’a jamais été attiré par le genre du roman de fiction. Cependant, tout comme bon père qui se respecte, il a jeté un œil à Audrey et il s’est surpris de l’avoir terminé assez rapidement. Il me donnait ses impressions et me résumait ses passages préférés. Le tout avec un sourire en coin et une petite étoile dans les yeux. Ce fut la preuve qu’il l’avait bel et bien lu. (Bien que je n’aie jamais douté de sa parole) Mon paternel me propose des personnes à qui faire lire le roman pour augmenter la visibilité de ce dernier et fait de la publicité autour de lui. Allant même à imprimer des affiches pour annoncer la vente dans son immeuble à condominiums. Il a également fait des démarches pour le lancement du tome 2 dans une librairie. Étant donné la situation de la Covid-19, un lancement était extrêmement compliqué pour le premier tome.
Depuis aussi longtemps que je me souvienne, ma mère a toujours lu. Du simple poème aux briques de 1000 pages, du simple essai psychologique au roman épique de dix tomes. Cependant, petit souci à la sortie de Audrey. Ma maman voulait attendre la version numérique. Je n’ai pas pris cela comme un affront; à chacun ses préférences. Malgré tout, elle n’a pas attendu de le lire pour me référer pour ma première entrevue parue dans un journal. À la suite des commentaires commençant à paraitre sur les réseaux sociaux, la curiosité la piqua et elle se prévit un moment pour lire « La Genèse d’une tueuse à gages ». Ça lui a pris une journée et demie. Pendant une semaine, elle partagea, avec ceux l’ayant déjà lu, ses passages préférés, les hypothèses qu’elle avait, ses surprises et avec moi, des idées pour les tomes à venir. Et pas que! Elle me propose également d’élargir mes horizons et prévoir mon avenir avec des propositions.
J’ai l’impression que ma reconnaissance ne sera jamais assez grande et que jamais je ne pourrais leur dire assez de fois le mot «Merci». Mais comme dit mon père très souvent : «Tu le mérites!».
Bon début de semaine tout le monde. Peu importe votre lecture, je vous en souhaite une bonne.
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