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Photo du rédacteurKevin Bonneville

Ça sent la coupe : Du film au Livre




Quel excellent timing de parler de ce film et de ce livre!

Tout d’abord, qu’est-ce que c’est? C’est l’histoire de Matthieu (livre) ou de Max (film), selon le média que vous prenez, est un fanatique de hockey et surtout du Canadiens de Montréal. Il ne manque aucune partie, c’est une véritable religion. Il organise souvent des réunions avec ses amis pour regarder les parties de ses glorieux et bien souvent au grand malheur de sa copine Julie. On suit sa grande palette d’émotions, les péripéties de ses amis et les siens durant la saison de hockey, une saison mémorable, de l’équipe de hockey professionnelle de Montréal.


Mon histoire avec ce film :


Je ne sais pas trop par où commencer. J’en avais beaucoup entendu parler à tort comme d’un bon film de hockey. Ce n’est pas un film de hockey, c’est une comédie dramatique sur un gars qui tripe fort sur le hockey. Il y a une énorme différence. Je dis "drame" puisque le personnage principal fuit le deuil de ses parents en maintenant en vie artificiellement le magasin de collection de son père. Il néglige sa copine en suivant la saison 2011-2012 du CH. Au moment d’écrire ces lignes, il s’agit de la dernière bonne saison de l’équipe, séries éliminatoires incluses. Durant cette année, Max doit apprendre le lâcher-prise et l’acceptation de la disparition de ses parents tout en essayant de reconquérir son ex-copine. Louis-José Houde donne une prestation très touchante et étonnante. Très loin de ce qu'il nous donne d'habitude.

Toute personne ayant vécu un deuil se reconnaîtra dans le personnage principal de ce film. C’est probablement pour ça que je l’ai aimé tant que ça… je vous raconterai cette période une autre fois.


Et le livre, lui?


Le roman n’est ni bon ni mauvais. On reconnaît facilement les situations et les personnages dans ce qui est un journal intime. Les parents sont en vie. Le personnage en fait référence lors de quelques passages. Cet évènement m’a manqué pendant ma lecture et le personnage m’a paru moins attachant. Cependant, avoir lu le livre avant d’avoir vu le film, ça ne m’aurait pas été enlevé l’envie de voir le long métrage. Tout de même, je recommande chaudement le film au livre.



Je parlais du timing de cet article pour deux raisons : le Canadien de Montréal est en train de revivre en série éliminatoire de la saison 2020-2021 et la fête des Pères s’en vient mi-juin et le film est dédié à nos pères.

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